…de David, celui qui écrit des romans et qui vient de travailler à l’adaptation de son livre La délicatesse que j’avais beaucoup aimé.
Je l’ai découvert avec Le potentiel érotique de ma femme (chouette un auteur français drôle, c’est rare non? ), je n’ai pas été marquée par En cas de bonheur. Qui se souvient de David Foeninkos? m’a même ennuyé et j’ai carrément été déçue par sa pièce de théâtre Célibataires sur laquelle j’avais écrit un billet à l’époque.
J’ai retrouvé son style, sa dérision, son sens de l’intrigue dans Nos séparations.
Il faut croire qu’avoir un frère qui écrit des livres ne soit pas totalement anodin car les femmes écrivains c’est précisément le thème de l’exposition de Stéphane Foeninkos.
Il est le modèle unique de l’exposition photo qu’il consacre à 55 femmes écrivains avec drôlerie ou poésie à la galerie Dupin.
Pour ceux et celles qui n’ont pas encore lu de billets sur cette exposition, vous avez deviné de qui il s’agit sur les 4 photos ?
8 Comments
J’ai aimé la délicatesse et je voulais lire un autre livre de cet auteur, tu viens donc de m’éclairer sur mon choix!
Pour ce qui est des romans de David, j’ai aussi bien aimé « la Délicatesse » et tu me confortes dans mon idée de lire ensuite « nos Séparations »! ;o)
Merci et bonne journée!
La troisième, il imite Duras non ?
Pis la Délicatesse, j’ai pas over aimé même si j’ai eu envie de le terminer.
J’ai aussi été très interpelée par cette idée d’expo. Et dire que tout ça est parti d’un délire entre amis !!!
J’adore !
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