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Après une trop longue absence (6 ans depuis son dernier roman), Dennis Lehane revient avec un très grand roman de la trempe de Mystic River ou de Shutter Island, Le Silence. Dennis Lehane, interrogé sur le pourquoi de ce roman, a expliqué qu’enfant, il a été frappé par le racisme de certains membres de sa communauté blanche irlandaise et interpelé par le fait que des personnes, par ailleurs adorables, puissent être profondément racistes. Dès 9 ans, il a ressenti de…

S’il y a quatre visages de différentes couleurs sur la couverture de True Story (qui peuvent être aussi des montagnes), c’est parce que True Story suit la trajectoire de quatre jeunes américains confrontés au souvenir d’un même drame vécu à l’adolescence. Que s’est-il réellement passé ce soir là dans la voiture qui ramenait chez elle, Alice, 16 ans, ivre et inconsciente ? A-t-elle été abusée ou cette version qui s’est répandue comme de la poudre était-elle une très mauvaise blague…

Peut-on choisir une lecture juste pour son titre ? Comme j’ai comme règle de ne pas lire (ou vraiment en diagonale) la quatrième de couverture (je déteste quand je sais déjà les 3/4 de l’histoire d’un livre, c’est comme les bande-annonces de films qui nous montrent souvent les plus belles scènes, quel dommage !), le titre peut être un élément déclencheur. Et puis pour être honnête, Les gens de Bilbao naissent où ils veulent je l’ai vu dans les coups…

Dans la série « il y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis », alors que je n’accroche pas au genre « nouvelles » du fait même de leur format et de ce que cela implique- j’ai lu et beaucoup beaucoup (ce n’est pas une faute frappe, la répétition tente de traduire mon enthousiasme) le recueil de nouvelles de Lionel Shriver, Propriétés privées. Pourquoi avoir choisi Propriétés privées ? Le nom sur la couverture Peu de chance de lire des nouvelles si…

J’avoue que je ne sais pas par où commencer pour vous parler du dernier roman de Joyce Carol Oates, Un livre de martyrs américains. Par mon admiration devant cette auteure capable d’écrire un roman de 800 pages aussi riche et complexe et à la productivité stupéfiante ? Par cette rencontre qui n’a pas été immédiate ? Il m’a fallu un certain temps pour rentrer dans l’histoire (heureusement que je n’ai pas lâché ce livre pour autant) et puis soudain, malgré…

Si je ne craignais pas les titres à rallonge, j’aurais écrit, à propos d’Un poisson sur la lune de David Vann, « le livre qui vous fait vivre comme dans la tête d’un maniaco-dépressif ». Je ne suis pas sûre que ce soit très vendeur à l’heure des « good feel book » et de cette quasi interdiction du spleen. Angèle en a fait une chanson : Cela me parait pourtant la meilleure façon de résumer le dernier roman de David Vann d’abord parce…