Gniiii dans cette année 2020, les bonnes nouvelles existent. La preuve le tome 5 de L’Arabe du futur de Riad Sattouf est sorti ! Le tome précédent s’était terminé sur un coup de théâtre, nous laissant tous comme à la fin de l’épisode d’une bonne série. Alors alors ? Fin du suspense, l’auteur n’a rien perdu de son génie à faire rire dans une bulle puis à bouleverser dans la bulle suivante. Ce que je peux reprocher à pas mal…
Je n’arrive pas à me souvenir par quel titre j’ai connu Riad Sattouf. La série Pascal Brutal était présente dans les bacs de la médiathèque où je bossais alors mais je crois que la rencontre a eu vraiment lieu avec Retour au collège. Je me suis tellement reconnue dans les pages consacrées à l’E.P.S. et j’ai trouvé cela vraiment très drôle. Comme avec tout auteur apprécié, j’ai suivi son actualité pour ne pas rater ses parutions et c’est ainsi que…
Le mois de janvier ce n’est pas que le sentiment de semaines interminables, le gris sur le gris et les fameux coups de blues qui m’envahissent sans que j’arrive à les tenir à l’écart, c’est aussi la sortie des Cahiers d’Esther, histoires de mes 10 ans de Riad Sattouf. Bien entendu on est dans une veine bien différente de celle de L’Arabe du futur (que je vous conseille vivement si vous ne l’avez pas encore lu) mais on retrouve l’humour…
Semaine de reprise, je me la joue motivée mais mon agenda est à l’envers, j’accompagne la classe de ma fille voir Asi Masi Masa de José Montalvo (et ça me donne carrément envie de retourner voir un de ses autres ballets), le street art met de la couleur dans les rues de mon quartier, je m’offre une bonne tranche de rire avec Riad Sattouf et un petit tour au forum du miel, rituel annuel du mois de janvier. Bonne semaine…
Quand j’ai appris que Riad Sattouf sortait une nouvelle BD, j’étais joie parce que les auteurs qui me font rire ne sont pas si nombreux. J’ai découvert cet auteur il y a quelques années avec Pascal Brutal, je me suis retrouvée dans Retour au collège (en particulier les fameux cours de gym…si tous les gens qui souffraient pendant ces heures là avaient su qu’ils n’étaient pas seuls, on l’aurait mieux vécu peut-être), j’ai traversé l’Atlantique avec No sex in New…