Tag

islande

Browsing

Est ce qu’il vous arrive de choisir un livre par rapport au lieu où l’intrigue se déroule ? C’est mon cas lorsque je lis le mot Islande. Comme j’ai lu tous les romans de Stefansson, je cherche depuis d’autres auteurs à lire. A l’affut de noms finissant par -son (fils de) ou dottir (fille de), j’ai découvert l’écrivaine Lija Sigudardottir et son dernier thriller Froid comme l’hiver. Froid comme l’enfer : un polar islandais peu classique Le pitch : Aurora…

J’ai déjà déclamé ici mon admiration pour l’écrivain islandais Jón Kalman Stefansson et combien j’ai été subjuguée par sa plume avec Ásta et tous ses autres livres. Autant dire que lorsque j’ai appris qu’il publiait un nouveau roman, j’avais hâte de l’avoir entre les mains. Invité de l’émission La grande librairie sur le thème du bonheur pour Ton absence n’est que ténèbres (quel titre magnifique !), Jón Kalman Stefansson avait essayé de donner quelques éléments de réponse personnelle à l’éternelle…

Je n’ai pas encore dressé le bilan de mes lectures 2019 mais j’ai comme dans l’idée que mon année 2020 aura de belles colorations islandaises côté bouquins. Tout a commencé avec le coup de foudre littéraire pour Asta lu dans le cadre du prix des lectrices Elle l’an dernier. Depuis j’ai eu envie de lire d’autres livres de Stefánsson et d’en savoir plus sur l’Islande. Voilà comment est née l’idée de cette sélection de livres 100% Islande. Des romans islandais…

La vérité, rien que la vérité, toute la vérité ? Si l’Islande me fait rêver avec ses paysages atypiques et sauvages, je suis une grande frileuse qui n’aime pas le froid. Alors j’ai trouvé une solution : la neige, les températures négatives, la glace, le vent, les terres quasi vierges, je les vis à travers les romans. Avec Vík de Ragnar Jónasson, me voilà transportée à quelques jours de Noël dans une contrée perdue, à l’extrême nord de l’Islande, à Kálfshamarsvík.…

Lors de la dernière édition du festival Quais du Polar, j’ai eu la chance d’être invitée à un huit clos avec l’auteur de polars islandais, Ragnar Jónasson. Plus je l’écoutais parler des paysages, de cette langue si poétique, du choix des titres de ses romans noirs, de ses personnages, plus j’avais envie de retrouver cette atmosphère et ce sol avec un nouveau titre de l’auteur. J’étais atteinte d’islandaisite aigüe ! Après Une sirène à Paris, ma seconde ordonnance littéraire concerne…

J’ai d’abord été attirée par la couverture de cet essai et comme l’Islande est dans la longue liste des pays où j’aimerais voyager, cela a fini de me convaincre de partir à la rencontre des Islandais . Ce titre fait partie de la collection « Lignes de vie d’un peuple » qui invite le lecteur à s’ouvrir aux autres, à renouveler sa curiosité et par là même à briser cette tentation du repli sur soi. L’auteur, Gérard Lemarquis, a été l’unique correspondant…