Foodista, foodista, cakista plutôt (c’est pas moi qui l’ai écrit) en ce qui me concerne mais d’abord comment reconnait-on une foodista ?
L’auteur, directrice de communication et ancienne gagnante d’Un dîner presque parfait, décrit la foodista comme quelqu’un qui est, je cite « toujours au courant des tendances culinaires et ne peut s’empêcher de penser, respirer, vivre cuisine ». Jusque là je me reconnais, moins quand elle complète son portrait en écrivant que la foodista cuisine bien, écume les ateliers culinaires, teste des restaurants toutes les semaines. La foodista serait-elle nécessairement cordon bleu et fortunée?
J’ai eu la confirmation en parcourant ce guide que pour garder la ligne quand on est foodista, il n’y a pas de recette miracle : sans sport t’es mort. C’est toujours un peu étonnant de rencontrer des filles qui semblent passer leur temps à table et qui sont minces comme des feuilles. Après interrogatoire, il s’avère qu’elles passent souvent des heures à suer les calories ingurgitées.
Livres de recettes à lire, abonnements à des revues, sites à consulter, ingrédients indispensables, salons et manifestations à ne pas rater, le guide livre le parfait kit pour ne rien louper de ce qui se passe dans les assiettes.
J’ai trouvé le chapitre sur la foodista au restaurant proche de ma réalité de la consultation, en amont, de multiples guides et sources croisées pour espérer dénicher LA perle (ou pour éviter les déceptions) au « ça va refroidir » de l’accompagnant alors que je prends quelques notes sur le plat qu’on vient de me servir.
Tout comme Mathilde Dewilde, impossible pour moi de partir en voyage sans m’être renseignée sur les adresses gourmandes à ne pas rater. Une fois sur place j’adore aller fureter dans les supermarchés à l’étranger, dans les épiceries ou les marchés un peu partout et de retour de vacances je rapporte toujours des souvenirs consommables !
Bref je ne sais pas si j’ai mon diplôme de foodista mais comme les adresses dans ce livre sont majoritairement parisiennes, je me porte candidate pour une version lyonnaise d’un guide d’une gourmande tendance bec sucré.
Et vous, foodista ou pas ?
18 Comments
Sinon pour parler du coeur du sujet : foodista. Je trouve ce mot un peu barbare et la définition trop préçise. Beaucoup peuvent être « Foodista », chacun apportant sa note personnelle. Bref, je ne saurai dire si j’en suis ou pas (c’est grave docteur ?).
Je ne pense pas etre foodista, meme si je coche bcp de point dans le descrifitif, j’aime la nourriture et en effet quant je pars en voyage j’adore flané dans les marché, supermarché et testé des choses que je ne connais pas et les rapporté chez moi ^^ .J’avoue ca fait partie des mes moments favoris
Je ne peux pas m’empêcher de réfléchir et penser « food »: je cuisine, je m’informe sur les nouveautés, j’adore tester les restos, j’expérimente…